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mercredi 5 août 2009

Hommage à la poule

... la poule pondeuse, j'entends.
Surtout quand elle nous pond des articles comme celui-ci : (je retranscris ici toujours "au cas ou" les blogs disparaissent mais si ça pose soucis écrivez-moi.)

Mon avis : Là, c'est bon je suis passée à autre chose, mais pour un premier bébé et pendant les six premiers mois de n'importe lequel, c'est vrai que c'était exactement ça... et que c'est pas facile tous les jours !

(en France ou dans un pays occidental)

Être parent aujourd’hui, c’est n’avoir jamais été aussi près du “Un enfant si je veux, quand je veux.” C’est avoir le taux de mortalité infantile et maternelle le plus bas connu par l’humanité : perdre un enfant est devenu exceptionnel. C’est disposer d’un niveau de connaissance encyclopédique sur l’enfant, son développement, sa psychologie… C’est (en théorie) pouvoir le confier à du personnel qualifié à un coût acceptable.

Mais…

Être parent aujourd’hui, c’est souvent l’occasion d’une première rencontre de près avec un bébé. Qui avait déjà changé une couche, donné un bain ? Qui avait déjà vécu (en tant qu’adulte ou adolescent) sous le même toit qu’un nouveau-né ? Nous n’avons plus de neveux, cousins, frères, voisins, etc sur lesquels nous faire la main. Notre principale source de connaissance du bébé provient des médias, où des femmes au physique parfait accouchent en 5 minutes d’un bébé de 6 mois tout propre sans cordon ombilical pendant que des médecins leur hurlent “Pousseeeeeeeeeez !”. Pour beaucoup d’entre nous, le bébé est un parfait inconnu dont la moindre déviation du Laurence Pernoud nous plonge dans une perplexité qui vire rapidement à la panique.

C’est manquer de repères, de soutien : notre société étant centrée sur la famille nucléaire, notre famille plus large n’est pas toujours proche géographiquement et nous ne connaissons pas nos voisins. Les parents au foyer sont plus facilement isolés, restant 24 h sur 24 seuls ou presque avec des tout petits, alors que c’est très difficile. Nous sommes en plein changement de paradigme par rapport à la vision de l’enfant inculquée à nos parents et grands-parents, ce qui rend leur aide parfois impossible et souvent difficile. Comment concilier les informations contradictoires et démêler les conseils utiles des interférences nuisibles ?

Nous sommes ensevelis sous les informations alarmistes, échaudés par les derniers scandales sanitaires (amiante et sang contaminé pour ne pas les citer). Comment trouver un matelas bio ? Des biberons sans BPA ? Le gras trans ? L’huile de palme ? Les cosmétiques ? Les produits laitiers ? Quels vaccins ?

Et surtout nous avons la pression. Les dernières avancées de la psychologie, même s’il n’est pas ici question de réfuter leur pertinence et leur intérêt, sous-entendent que les parents (et surtout la mère) sont responsables (mais pas coupables ?) de tous les maux de leurs enfants. Aussi odieux que puissent être les comportements des enfants, ils trouvent tous leur origine dans un problème de l’adulte. Et tant que vous n’aurez pas affronté et réglé votre traumatisme originel, vous subirez la double peine : supporter un enfant au comportement problématique et votre problème à vous, avec en bonus la culpabilité de ne pas en avoir trouvé la clé.

Votre enfant se réveille la nuit ? Votre faute. Votre enfant fait des cauchemars ? Votre faute. Votre enfant a tapé sa copine de crèche ? Votre faute. Votre enfant se roule par terre dans le magasin ? Votre faute. Votre enfant n’a pas dit bonjour à Mamie ? Votre faute. Et ça vaut aussi pour sa santé physique : c’est vous qui lui avez donné de la courgette avant la carotte, pourquoi croyez-vous qu’il soit allergique aux acariens maintenant ? Vous l’avez laissé manger des Haribos ? Ne venez pas vous plaindre qu’il soit hyperactif, avec tous ces colorants et ce sucre. Il est trop gros ? Votre faute. Trop maigre ? Votre faute.

Même les experts auto-proclamés qui passent habituellement leur temps à se chamailler à l’antenne ou dans les magazines pour vendre leur prose sont unanimes : que ce soit parce que vous avez été trop ferme ou pas assez, c’est vous qui avez rendu cet enfant infernal (notez que ce sont également eux qui ont fixé des normes de comportement pour votre enfant qui semblent prévues plutôt pour la reine d’Angleterre que pour un enfant de 3 ans). Vous n’avez pas allaité ? C’est mal. Vous allaitez encore ? C’est mal aussi. Vous reprenez le travail ? Mère indigne. Vous restez à la maison ? Mère castratrice. Et maintenant vous culpabilisez ? Mais arrêtez il va en avoir de l’eczéma le pauvre petit.

Comme le rappelle si bien Hillary Clinton : Il faut tout un village pour élever un enfant. Alors chers experts, chers donneurs de leçon, chers moralisateurs et autres culpabilisateurs : au boulot ! Pas la peine de venir changer des couches ou jouer les Super Nanny, merci bien (quoi que si vous voulez faire un peu de ménage faut pas se gêner), mais bougez-vous pour que la société nous donne les moyens de vos belles ambitions. C’est bien beau de prôner l’importance du lien parent-enfant et de l’autre côté rendre les enfants indésirables dans de nombreux endroits. C’est bien beau de clamer partout qu’il faut allaiter si en même temps on saborde consciencieusement les efforts des mères pour le faire (sur ce sujet un article intéressant ici). C’est bien beau de dire aux parents de rétablir leur autorité sans utiliser les méthodes d’antan et sans leur donner de nouvelles pistes. Et je suis sûre que vous trouverez plein d’autres exemples. Alors oui, un enfant a généralement deux parents, qui sont prêts à prendre leurs responsabilités, mais il a aussi une famille, des amis, des voisins, des profs, des élus, une communauté religieuse, un médecin, bref il fait partie d’une société. Cette société n’a pas à remplacer les parents (sauf en cas de problème), ni à les culpabiliser à tort et à travers, mais tout simplement à les soutenir. Et on peut déjà s’y mettre nous-mêmes…


mardi 10 mars 2009

L'ecole à la maison

Découverte de cet univers du "Unschooling" (terme inadapté je trouve, car s'il n'y a pas d'école, il y a quand même un enseignement) par des pratiquantes :

Avec mes zèbres
Montessori chez les p'tits pois
La tribu des pandas
Apprendre en buttinant
Journal Montessori
L'aventure de Mi et Lou

De ces sites découlent les liens qui vont bien vers les pédagogies Montessori, Steiner, leur philosophie, leur matériel, etc...

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Pour mon avis à moi (que je ne me retiens jamais de donner ;-p), je trouve que l'école à la maison nécessite beaucoup de temps, donc de l'argent (il y a forcément un parent qui ramène beaucoup de sous pour pouvoir assurer le financement de cette institution-maison), il faut des parents instruits (et pas qu'un peu) pour pouvoir donner du savoir dans toutes les matières, et surtout, cela prive d'une vie "entre enfants différents". Car l'école, même si elle peut parfois être brutale, a la mérite de faire découvrir (et apprendre à réagir et à se protéger) de toute l'étendue de la population.
Qui plus est, le lien affectif qui lie un enfant à ses parents vient masquer souvent l'enseignement lui-même (si on veut, on peut se lancer dans des parallèles du genre : "j'apprends ma leçon pour faire plaisir à maman comme je fais caca dans mon pot pour lui faire un cadeau" ou "ma choupinette est dyslexique surtout en histoire-géo mais je ne veux pas la forcer car je sens bien qu'elle comprend que l'histoire est trop violente avec toutes ces guerre, d'ailleurs moi-même j'aime pô, c'est bien un signe !") et s'il est évident que travailler avec l'affectif fait se dépasser soi-même et génère souvent les meilleures idées, travailler pour l'affectif est très risqué à long terme.

Pour ma part, je trouve très important que Lucile découvre d'autres enfants, parfois stupides, parfois lents, parfois brutaux... Qu'elle découvre d'autres adultes avec des centres d'intérêts différents des miens... Qu'elle apprenne d'autres règles de vie que celles de la maison...
En fait, dans toute son éducation (et pareil pour Jonas), je ne veux surtout pas être leur seul référent, celle qui leur fait tout découvrir, le prisme qui leur apporte la lumière, un être irremplaçable (attention, hein, je dis pas que les personnes qui instruisent leurs enfants à la maison veulent se les accaparer hein. Ce sont généralement des gens plus subtils et mieux élevés que ça !) C'est peut-être sujet à analyse psy un tel détachement apparent mais en tout cas, c'est mon avis à moi !

Et puis des parents passionnés de cette façon, c'est quand même trop cons qu'ils ne puissent transmettre qu'à leurs enfants... et là, c'est le principe d'admission à l'éducation nationale que je fustige et le manque de liberté qu'ont les écoles pour faire intervenir, rémunérer et couvrir des intervenants pareils...

lundi 27 octobre 2008

l'HNI - La pratique

Oui, je sais, j'ai dis que c'était pas pour moi et que je ne le ferais pas...
...Bin, y'a qu'les imbéciles qui ne changent pas d'avis !!!

En fait, un jour, j'ai proposé à Jonas de faire caca dans les toilettes alors que je le voyais en train de pousser à la fin de son bib'. Et le moment étant le bon, il a fait tranquillement sa crotte dans les toilettes. (Pas de sourire hilare de la part de Jonas comme ils disent dans le livre mais, pour moi, la grande satisfaction de ne pas avoir de cacacouche à changer !)
Ça à marché du premier coup... Et puis encore une autre fois...

Et puis du coup, chaque fois que "je le sens" ou profitant d'un change, je le positionne au dessus des toilettes.

Quand il a envie, y'a pas à attendre ! Il se plie en deux et, plic, ploc, il fait caca dans les toilettes. Par contre, s'il n'a pas envie ou dès qu'il a fini, il se tortille, se vrille, se met en biais et me regarde comme pour me dire "Non, là, pas du tout, tu vois !"

J'ai eu tendance à essayer de le forcer à rester au dessus des toilettes quand ça ne venait pas mais, non, vraiment ce n'est pas la solution. Mieux vaut reproposer au change suivant. A défaut de pouvoir me dire intelligiblement s'il vaut ou non aller au toilettes avant d'y être, il sait très clairement se faire comprendre une fois au dessus. De toute façon, si c'est bon, y'a pas à attendre donc inutile d'insister !

Bref, quand on applique ça uniquement aux cacas, ce n'est vraiment pas contraignant.
Avec la nounou ou Gilles ou quand je fais autre chose, il fait ses besoins dans la couche. Si je suis là, que je le vois et que je suis disponible, on file aux toilettes. SIMPLE, non ?

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En fait, ce que je n'arrivais pas à séparer clairement dans ma tête, c'est le principe de propreté et le fait de "se retenir". Là, Jonas ne se retient absolument pas. Par contre il apprend à "se forcer" quand il est sur les WC. Et du coup, je comprend tout à fait que ça puisse fonctionner avec des tout-petits...

Bref, voilà, c'était mon expérience. De la à "attraper" tout les cacas et à anticiper les pipis, y'a encore du boulot ! Mais il ne faut pas dire "fontaine..."

vendredi 10 octobre 2008

Elever son enfant... autrement


Encore un livre dont j'avais entendu parler à nombreuses reprises ("rebattu" les oreilles, pas "rabattu", hein ! Et puis d'abord, personne ne m'a battu, j'ai voulu le lire toute seule.)
"Elever son enfant... autrement" de Catherine Dumonteil-Kremer

Bon ! Vu le pavé, j'ai pas encore tout lu... Et d'ailleurs, j'ai pas envie de me presser à le lire en entier. Je préfère le déguster par petites touches.
Il serait prétentieux de dire que je n'y apprend rien. Déjà tout simplement parce qu'il est plein de témoignages... et que l'expérience d'une personne est toujours unique.
Mais si vous avez envie de savoir tous les sujets que l'on risque d'aborder dans ce blog et que vous n'avez pas la patience d'attendre qu'on poste ou si vous détestez notre style littéraire, bin, vous pouvez acheter le livre dès à présent et les yeux fermés.

Une très très forte émotion pour tous les récits d'accouchement au début... Et des lettres oh combien poignantes sur des naissances difficiles...

Mais tout y est ! Préparation à l'accouchement, haptonomie, accouchement, accompagnement de la douleur, allaitement, portage, massages, HNI, les pleurs, la question de la reprise du travail, l'éducation, la propreté, la sexualité, les jeux, les comptines, Montessori, Steiner et l'école à la maison, la vie, la mort, la maladie, le handicap, tout ça à apprendre à gérer au mieux et en parler avec son enfant quand le besoin s'en fait sentir.
Et puis des millions de liens internet... Oui, j'en avais déjà parcouru les 3/4. Et tant mieux... car je perdrai moins de temps en lisant tout le reste...

Je continue la lecture...

... et recommande ce livre à toutes celles (et tout ceux) qui n'ont que peu accès à internet ou qui préfèrent les supports papier.


N.B. :
Je demande quand même une lecture par quelqu'un de non-initié au maternage ou de non-dégrossi* par la pratique intensive des forums ou blogs alternatifs... pour me dire si c'est clair, explicite et abordable sans "pré-requis" ou si, d'un œil extérieur, on trouve ça complètement farfelu, tiré par les cheveux et rétrograde.

* Oui le mot est moche mais j'ai pas trouvé mieux pour l'instant !

L'HNI - approfondissement


Bon, bin voilà, j'ai enfin commandé (et lu) le livre de Sandrine Montrocher-Zaffarano sur l'hygiène naturelle infantile.

Les quelques blogs croisés à ce propos m'avais déjà appris bien des choses. Rien de transcendantalement nouveau dans le livre.
Il y a surtout des comparaisons avec d'autres sociétés et les différentes façons de concevoir la "propreté" des enfants et par extension de "materner". Une sorte d'immense préambule ou de très longue excuse pour les sociétés dite modernes qui se sont éloignées des choses simples (mais oh combien fastidieuses !!!).
J'y ai trouvé tout de même un ton doux et calme, qui insiste sur le fait de ne pas se donner d'objectifs, de faire à son rythme, de se laisser du temps, de ne pas vouloir la perfection. Une sorte d'incitation au maternage, même à temps partiel. J'ai trouvé ça agréable en ces temps de militantisme facile.

Cette lecture me donne l'excuse toute faite de ne pas m'y mettre puisqu'après 3-4 mois, l'enfant à appris à refouler ses sensations. Mais cette excuse est bidon. Je ne me sens tout simplement pas capable d'être suffisamment à l'écoute de Jonas. Et pour profiter des moments propices aux "pipis garantis" (le matin au réveil de l'enfant ou pendant les repas), il faudrait faire du cododo ou réorganiser le timing des soirées et je n'en ai vraiment pas envie.

Ça soulève aussi la question de l'effet "bébé au sec" qu'on peut chercher à avoir dans les couches lavables. Car finalement, çe qui aide les enfants (bébé ?) à vouloir être propre, c'est l'inconfort généré par la couche mouillée ou par le support humide. Du coup, les peaux de mouton et inserts en polaire deviennent "à double tranchant" : c'est plus confortable et la peau est moins irritée mais cela fait perdre la conscience des "besoins d'élimination" (je reprends les termes employés dans le livre !)

Dans la demi-mesure qui me caractérise (sic !) je ne pratiquerait donc pas l'HNI avec Jonas. Par contre, je "verbalise" autant que possible quand je sais qu'il est en train de faire pipi ou caca et je n'hésiterai pas à lui proposer le pot dès qu'il se tiendra assis vu qu'il semble beaucoup plus incommodé par les couches souillées (même jetables !) que sa sœur au même age.

M'enfin ! Je tiens le livre à disposition des personnes intéressées et je vous fais part aussi d'un "équipement" qui d'après moi facilite beaucoup la pratique de l'HNI (et l'apprentissage de la propreté en général)

jeudi 9 octobre 2008

Peau de mouton!

Mais non pas "peau de vache", je ne me permettrais pas!

J'avais lu par-ci par-là des mamans qui l'utilisaient, cette fameuse peu de mouton ou d'agneau.
Alors à quoi ça sert donc cette chose??

La peau d'agneau est un semi-conducteur électrique. Elle permet l'échange naturel des ions entre le corps et l'environnement et empêche le chargement statique. Elle absorbe la sueur et les toxines du corps et les élimine à l'air libre sept fois plus vite que les matières synthétiques.

La peau d'agneau favorise tant la détente que la régénération du corps. Elle active la circulation et les forces immunitaires. De par sa composition qui est très proche de celle de la peau humaine, elle respecte la peau et est indiquée pour les peaux sensibles et à tendance atopique. Elle a, enfin, un grand pouvoir thermorégulateur qui la rend agréable à utiliser en hiver comme en été.

Le tannage Relugan:

Le tannage relugan, appelé aussi tannage médical, est un procédé respectueux de l'environnement qui donne sa couleur dorée à la peau. Le tannage est effectué par des tanneurs professionnels et la confection par des artisans-fourreurs qualifiés.
Le grand avantage de ce tannage est qu'il permet un lavage en machine à 30° C, même si , comme pour un beau pull en laine, nous le déconseillons pour préserver la douceur de la peau.

Le Tannage Mimosa:

Le tannage "Mimosa" est le plus naturel. Il s'agit d'un tannage végétal. Il est réalisé à partir d'extrait d'écorce d'accacias que l'on trouve en Afrique, en Amérique du sud et en Australie. Lors du tannage, la peau d'agneau n'est pas colorée, elle garde sa pigmentation naturelle. Des taches légèrement rosées peuvent apparaîtrent, liées au procédé naturel de ce tannage.

Ce tannage, à la différence du tannage Relugan, ne permet pas à la peau d'être immergée dans l'eau et donc d'être lavée
Label:
Labéllisée Oko-Test, la peau d'agneau est saine pour votre bébé. Elle n'a subit aucun traitement au chrome, chlore ou autre produits chimiques polluants.


Petite comparaison de prix:

Pour résumer, ça fait un petit tapis bébé peu encombrant à transporter partout, ça tient bien chaud en hiver (pas besoin de turbulette),ça se lave (pas trop qu'ils ont dit quand même) et ça coute environ 50€ pour une taille correcte.
Reste à voir l'utilisation été, pour laquelle je reste sceptique.

Mais ça me tente bien. Pourvu que mon homme ne passe pas par là avant que je me décide....

Des témoignages ou réactions?

------------La Mariette's Touch------------------
Rhô zut, j'ai encore répondu dans les commentaires ! Bon, je copie-colle ici :
La peau de mouton, donc ? Idéale pour pratiquer l'HNI puisque "évacuant naturellement les saletés" et thermoregulatrice de la chaleur...
Enfin c'est ce qu'en disent toutes les utilisatrices qui peuvent ainsi laisser leur bébé à demi-nu même en plein hiver...

Pour ma part, je n'oserai pas (pour la chaleur mono-face et pour mon amour du nettoyage à l'eau chaude !) et puis le prix m'a fait renoncer (comme les colliers d'ambre en fait !)

mercredi 10 septembre 2008

l'HNI c'est quoi?

Quand Mariette a écrit ça sur le premier message, je me suis dit késako?
Une maladie? Un nouveau produit?
Alors j'ai cherché et j'ai trouvé ma réponse:

"Il s’agit tout simplement de détecter chez son enfant dès le plus jeune age les signaux correspondant à un besoin d’élimination (urine ou selles) et de l’emmener à l’endroit prévu à cet effet."
Trouvée sur le Site de Julie baby

Intéressante façon de voir les choses, jamais entendu parlé en tous cas, mais pourquoi pas.
Je demande à voir quand même et j'imagine sans trop de mal le nombre "d'accidents" que cela doit provoquer et les machines qui vont avec.

Non, je ne suis pas vraiment prête à essayer une telle méthode (mais c'est juste parce que je viens d'acheter des couches, hein).

Par contre si certaines mamans veulent partager leur expérience.... je suis bien curieuse d'avoir leur témoignages.

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Pour ma part, je veux bien y croire mais j'ose à peine imaginer le temps et la disponibilité qu'il faut mettre en œuvre avant que l'enfant puisse s'exprimer oralement (soit tout de même bien un an !) Vu que je ne suis pas restée à la maison pour Lucile et que Jonas ne fait pas ses besoins qu'à mi-temps, je laisse encore tomber cette fois-ci.
Le blog de Sélène était assez détaillé sur l'HNI au quotidien. Mais encore une fois, une maman hyper dispo et ultra naturelle et méga-maternante...
Il y a aussi le témoignage de Ouazna qui à toujours vu sa cousine faire faire leurs besoins à ses bébés en direct dans un pot, un mouchoir ou par terre dehors. Au bout de 9 à 12 mois, ça paye.

A défaut de faire de la "vraie HNI", j'ai tout de même pris l'habitude de dire à Jonas qu'il est en train de faire pipi ou caca quand je le vois faire, pour qu'il prenne conscience et connaisse les mots. Si je repère les moments précis dans la journée ou il fait pipi ou caca, je tenterai de le mettre au dessus d'un pot, d'une bassine ou des toilettes... mais en attendant, je rentabilise les couches lavable ;-p